Artistes d’ici et d’à coté

Frédéric passe une heure et demie avec Santa Machete, groupe basé dans l’Entre-deux-Mers et qui propose de la musique sud-américaine, afro-soul, cumbia libré.Ces musiciens sont masqués, ont des allures de guerriers et ont tous un pseudonyme mexicain. Leur anonymat leur permet d’être encore plus libres et de donner libre cours à leur folie et à leur extravagance. Ils nous communiquent leur énergie jusqu’à la transe.Ils restent anonymes mais ce sont de fabuleux musiciens. Ils devraient sortir deux nouveaux albums en 2023 et 2024. En attendant, on peut aller les voir sur scène – c’est un vrai spectacle à chaque fois – ils seront le 20 mai à Bordeaux grand Parc pour un bal en rose contre le cancer.

Les origines du catch mexicain : la Lucha libre

La Lucha libre trouve ses racines dans les années 1860, lorsque des lutteurs étrangers ont commencé à venir au Mexique pour combattre. Le style distinctif de la Lucha libre s’est développé au fil des décennies et a été grandement influencé par la culture mexicaine. En 1933, Salvador Lutteroth a fondé la Empresa Mexicana de Lucha Libre (EMLL), aujourd’hui connue sous le nom de Consejo Mundial de Lucha Libre (CMLL), qui est la plus ancienne promotion de lutte professionnelle encore en activité.

Le catch mexicain, ou Lucha libre, est un spectacle fascinant et une tradition profondément enracinée dans la culture mexicaine. Des masques élaborés aux mouvements acrobatiques impressionnants, la Lucha libre offre un divertissement unique pour les fans de lutte du monde entier. Pour en savoir plus et découvrir des combats en direct, consultez les sites officiels du CMLL et de la Lucha Libre AAA.

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